Programme
-
(GMT+1)Cérémonie d'ouverture
-
(GMT+1)Panel d'ouverture | Nouvelle ère pour la finance africaine : le temps des champions est-il enfin arrivé ?
Le destin financier de l’Afrique et sa capacité à financer son développement nécessitent une action rapide et déterminée de la part des leaders régionaux et panafricains. À la suite du retrait des acteurs internationaux, les champions africains sont désormais en première ligne pour bâtir la prospérité du continent en finançant le commerce, les infrastructures, les secteurs extractifs ainsi que les énergies renouvelables. Des leaders de premier plan discutent de l’environnement réglementaire et des priorités pour renforcer les institutions financières africaines, afin de stimuler la croissance économique et de positionner l’Afrique parmi les centres financiers de rang mondial.
Points clés :
- Retrait des acteurs internationaux : comment l’industrie financière africaine va t’elle se consolider ?
- De l’interopérabilité des paiements à l’accès aux produits financiers pour la main-d’œuvre informelle, comment les leaders de l’industrie peuvent-ils encourager davantage les avancées technologiques ?
- Quelle stratégie de développement du capital humain développer pour pourvoir aux besoins en compétences techniques ?
-
(GMT+1)État de l'Industrie | Baromètre de l'Industrie Financière Africaine 2024
Deloitte et l’Africa Financial Summit – AFIS dévoilent les résulats du 4e Baromètre de l’Industrie Financière Africaine. Cette enquête annuelle auprès des dirigeants du secteur financier offre une analyse approfondie des orientations de l’industrie sur les réglementations, la finance durable et les obstacles à l’inclusion financière. Découvrez comment les banques, assureurs, fintechs et acteurs des marchés de capitaux structurent leurs activités, renforcent leur gouvernance et s’adaptent aux évolutions réglementaires.
-
(GMT+1)Side-Event BOAD | Finance Climat : solution innovante pour l’industrie financière Africaine
Participation sur invitation.
Cet évènement privé réunira des experts de haut niveau et des intervenants clés, notamment Serge Ekue, Co-Président de l’IDFC et Président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et Adama Mariko, Secrétaire Général du FiCS et Directeur adjoint pour la mobilisation, les partenariats et la communication du Groupe Agence Française de Développement (AFD). Les échanges porteront sur le rôle de l’IDFC, l’importance de la finance climat en tant que solution innovante pour une nouvelle architecture financière et l’impact de la COP 29 sur l’industrie financière africaine.
L’International Development Finance Club (IDFC) est un réseau de 27 banques de développement nationales, régionales et bilatérales, co-présidé par la BOAD. Ses membres travaillent ensemble pour mettre en œuvre les Objectifs de Développement Durable et les agendas de l’Accord de Paris et unissent leurs forces en tant que plateforme favorisant les investissements de développement durable à travers le monde.
-
(GMT+1)Perspectives macroéconomiques 2025 | comment assurer une montée en puissance des institutions financières africaines ?
Le professeur Carlos Lopes de l’Université du Cap signale qu’un système financier mondial biaisé, conjugué à un cycle d’endettement écrasant et à des notations de crédit injustes, contribuent à accélérer le retrait des banques internationales d’Afrique. Alors que les institutions financières locales prennent le relais, l’économiste examine les conditions nécessaires à leur réussite, l’Afrique se dirigeant vers une reprise modeste en 2025 (4,3 % contre 3,7 % en 2024).
-
(GMT+1)Networking Break
-
(GMT+1)Jusqu’où peut aller l’intégration du secteur de l’assurance dans le cadre de la ZLECAf ?
Le projet de cadre de la ZLECAf sur les services financiers pourrait, s’il est validé, encourager les régulateurs, y compris dans le secteur de l’assurance, à harmoniser les règles prudentielles. Bien que des avancées aient été réalisées en Afrique, notamment avec l’harmonisation des exigences minimales en capital et les politiques de domestication dans la zone CIMA, d’autres efforts d’harmonisation, tels que la couverture des accidents automobiles transfrontaliers en Afrique de l’Ouest et de l’Est, peinent à être appliqués. Par ailleurs, de nombreux pays africains continuent d’imposer des mesures de protection des intérêts nationaux telles que les exigences de résidence pour les assureurs et réassureurs. Comment ces politiques peuvent-elles s’accorder avec la ZLECAf ? Quelles actions les régulateurs devraient-ils entreprendre pour protéger leurs marchés sans nuire au marché commun ?
Points clés :
- Harmonisation des licences et approche basée sur les risques en matière de capital : quelles sont les prochaines étapes pour aligner les mesures prudentielles en vue de la mise en place du cadre de la ZLECAf ?
- Les politiques de domestication sont-elles indispensables à la protection des intérêts nationaux ou en contradiction avec la ZLECAf ?
- Comment concevoir une structure de gouvernance apte à harmoniser les mesures prudentielles dans le secteur de l’assurance ?
IntervenantAbderrahim CHAFFAI
Président, Autorité de Contrôle des Assurances et de la Prévoyance Sociale (ACAPS), Royaume du Maroc -
(GMT+1)Énergie, capital-investissement, immobilier : comment les investisseurs institutionnels africains peuvent-ils mieux tirer parti de ces opportunités ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Les investisseurs institutionnels africains cherchent à diversifier leurs portefeuilles dans les actifs alternatifs tels que le capital-investissement, l’immobilier et les infrastructures pour optimiser leur couple risque-rendement. Mais en raison du manque de produits adaptés aux marchés locaux, des capacités limitées en gestion des risques et des contraintes réglementaires notamment, ils ne représentent en moyenne que 3% des actifs sous gestion. Et ce malgré les efforts des régulateurs au Ghana, Kenya, ou au Nigéria par exemple, qui ont augmenté les plafonds d’investissement pour encourager une allocation plus ambitieuse. Une table ronde à huis clos réunissant fonds de pension et souverains, assureurs et régulateurs discutera des stratégies pour favoriser les investissements dans les actifs alternatifs.
Points clés :
- Evaluation d’instruments financiers complexes, due diligence, gestion des risques : comment renforcer les capacités des acteurs du secteur ?
- Limites d’investissement restrictives, taxonomie et standards de reporting, fiscalité : quelles réformes pour des cadres réglementaires favorables ?
- Comment la profession peut-elle développer des offres de produits diversifiés et adaptés ?
IntervenantIsabelle BEBEAR
Directrice - Chef des affaires internationales et européennes, BPI France -
(GMT+1)Side event | CIFF | Financement des projets gouvernementaux essentiels : Mobilisation des ressources nationales et internationales via l’Africa Capital HubIntervenant
Simplex Chithyola BANDA
Ministre des finances et des affaires économiques, République du Malawi -
(GMT+1)Trade finance: que peuvent faire les institutions africaines face à un fossé qui se creuse ?
Les banques commerciales basées dans les pays africains à faible notation de crédit et n’ayant pas une monnaie importante rencontrent des difficultés croissantes pour établir des relations de correspondance bancaire fiables. Aggravé par le retrait des banques internationales d’Afrique, ces difficultés freinent le développement du commerce transfrontalier.
Au cours de cette session, Dr Sidi Ould Tah, Président de la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA) et Admassu Tadesse, Président-Directeur Général de TDB Bank, et Michael Jongeneel, CEO de FMO présentent des solutions à ce défi majeur. Ils examineront le potentiel des garanties de financement du commerce et de la couverture des risques de paiement offertes par les Institutions de Financement du Développement (DFI) comme mécanismes pour réduire le fossé laissé par le retrait des banques correspondantes.
ModérateurNathalie LOUAT
Directrice mondiale du financement du commerce et de la chaîne d'approvisionnement, IFC -
(GMT+1)Déjeuner
-
(GMT+1)Marchés de capitaux connectés : Libérer le potentiel des transactions boursières intra-Africaines
Bien que le commerce intra-africain soit en progression, il ne représente encore que 15 % du commerce total, loin derrière les 68 % en Europe. Lancé en décembre 2022, l’African Exchanges Linkage Project (AELP) connecte plus de 2 000 entreprises, avec une capitalisation boursière de 1,5 billion de dollars, pour faciliter les échanges transfrontaliers de titres et améliorer la transparence des marchés à travers sept bourses africaines. Cependant, des défis majeurs, comme la fragmentation réglementaire, les complexités de règlement et les lacunes en infrastructures, doivent être surmontés pour exploiter tout son potentiel..Comment l’AELP peut-il atteindre ses objectifs tout en favorisant les réformes réglementaires et de règlement nécessaires pour bâtir une compétitivité durable
Points clés :- Comment l’AELP peut-il renforcer la compétitivité mondiale des marchés de capitaux africains ?
- Quelles réformes réglementaires et de règlement sont nécessaires pour maximiser l’impact de la plateforme sur le commerce intra-africain ?
- Comment garantir que les PME et autres petites entreprises bénéficient pleinement de l’intégration des bourses africaines ?
IntervenantEmomotimi John AGAMA
Directeur Général, Securities and Exchange Commission, Federal Republic of Nigeria -
(GMT+1)Comment faire de la révolution numérique une réalité pour les PME ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Les petites et moyennes entreprises constituent le pilier des économies africaines, soutenant l’emploi, l’innovation, et la croissance économique. Cependant, le secteur financier les a souvent considérées comme trop risquées et coûteuses à accompagner, laissant ainsi une grande opportunité de marché inexploité. Récemment, le recours aux canaux numériques, les avancées en analyse de données et des modèles d’affaires innovants ont permis aux prestataires financiers visionnaires de transformer leurs services dédiés aux PME. Les collaborations entre nouveaux acteurs et acteurs traditionnels se sont révélées essentielles pour favoriser ces innovations et bousculer les conventions établies de l’industrie. Cette table ronde stratégique se penchera sur les facteurs clés de succès des partenariats financiers en faveur des PME dans l’ère numérique, en rassemblant les perspectives des banques commerciales, fintechs, entreprises de télécommunications, et des régulateurs.
ModérateurDahlia KHALIFA
Directrice régionale, Afrique centrale et Afrique de l'Ouest anglophone , IFC -
(GMT+1)MNBC : un catalyseur pour les paiements transfrontaliers et l'inclusion financière ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Cette année, l’Égypte, l’Éthiopie et le Rwanda ont rejoint la liste croissante des pays africains explorant le lancement de monnaies numériques de banque centrale (MNBC). Au Nigéria, le portefeuille eNaira, déjà intégré par certaines fintechs et banques commerciales, montre un potentiel pour des services hors ligne destinés aux non bancarisés. A l’international, des projets pilotes suggèrent que des MNBC interbancaires interopérables permettraient des paiements instantanés entre devises, une option envisageable pour l’Afrique. Une table ronde réunissant les gouverneurs de banques centrales et des institutions financières se penche sur la manière dont les MNBC peuvent catalyser l’inclusion financière et faciliter les paiements transfrontaliers.
Points clés :
- Comment garantir que les MNBC de détail apportent une réelle valeur aux communautés sous-bancarisées et se démocratisent ?
- Cartes de débit, portefeuilles mobiles, paiements de factures : quelles innovations en matière de MNBC les banques commerciales, les fintechs et les services d’argent mobile peuvent-ils développer pour accroître la pénétration ?
- Comment développer des MNBC interopérables pour les paiements transfrontaliers, compatibles avec les systèmes régionaux et le PAPSS ?
-
(GMT+1)Interopérabilité du Mobile Money : comment réaliser un réseau financier réellement panafricain ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Le lancement de la phase pilote du système de paiement instantané interopérable par la BCEAO marque un tournant décisif dans le développement du secteur du mobile money sur le continent. Alors que l’Afrique de l’Ouest semble avoir pris une option sur l’accélération des projets d’interopérabilité du MoMo, le reste du continent accuse un certain retard et les ambitions d’une interopérabilité continentale demeurent contrariées. La diversité des réglementations financières, les lourdes négociations entre toutes les parties prenantes et la répartition des coûts de construction des infrastructures numériques constituent les freins à ce projet d’interopérabilité continentale. Cette table ronde à huis-clos réunira régulateurs, opérateurs de mobile money, fintechs, institutions bancaires pour formuler des recommandations autour des enjeux et conditions de la mise place de programmes panafricains d’interopérabilité des paiements ?
Points clés :- Harmonisation et normalisation : Comment répondre au défi de la fragmentation des réglementations africaines ?
- Opérateurs mobiles, service de mobile money, banques et gouvernements : Quels types de partenariats privilégier ?
- Numérisation & inclusion financière : l’interopérabilité des paiements serait-elle l’outil de l’intégration économique panafricaine ?
-
(GMT+1)Women in Finance | Gender bonds et applications mobiles : saisir une opportunité à 2500 milliards $
Source de capitaux importants et instruments efficaces en faveur de l’autonomisation des femmes entrepreneurs, les Gender Bonds et les applications mobiles pourraient ajouter 2,5 milliards $ au PIB de l’Afrique d’ici 2025. Cependant, ce nouvel élan dans l’inclusion des femmes et la numérisation des outils pour les MPME dirigées par des femmes se heurtent au manque de culture numérique et aux problèmes d’accès à internet et aux services financiers, dans le continent avec le taux d’émission de Gender Bonds le plus bas au monde. En 2022, la Rand Merchant Bank d’Afrique du Sud a été la première à émettre une obligation de genre d’une valeur de 58 millions $ sur le continent. Cependant, cet outil de financement est perçu comme complexe en raison de l’absence de référence standard sur les processus et d’interrogations sur les rendements pour les investisseurs. Comment les institutions financières peuvent-elles concevoir des outils de financement innovants, tels que les Gender Bonds et la numérisation des garanties, afin de combler le fossé entre les hommes et les femmes en Afrique ?
Points clés :
- Inclusion financière : A quels défis les institutions financières sont-elles confrontées dans la mise ne place de produits numériques ou mobiles pour les femmes ?
- Comment les obligations de genre peuvent-elles attirer les investisseurs ?
- Quelles leçons l’Afrique pourrait tirer de l’usage réussi des Gender Bonds et des produits numériques innovants pour les femmes ?
IntervenantIlham LAHLOU
Directrice de l'assurance dommages - assurance des particuliers, SanlamAllianzIntervenantJosephine ANAN-ANKOMAH
Directrice exécutive régionale Afrique centrale, de l’Est et Australe (CESA) & directrice générale Ecobank Kenya, Ecobank -
(GMT+1)Conversation With | Faciliter l'accès de l'Afrique aux marchés de capitaux internationaux
Les marchés internationaux seront essentiels pour financer les projets de développement les plus ambitieux de l’Afrique, surtout après le retrait de nombreuses grandes banques internationales. Pourtant, le nombre de banques africaines ayant une licence en Europe ou aux États-Unis est inférieur à dix, et rares sont les entreprises africaines cotées sur les marchés mondiaux. Dans cette conversation de haut niveau, Edward Knight, Vice-Président exécutif de Nasdaq, discute de la manière dont l’Afrique peut bâtir de grandes entreprises et institutions financières locales, capables de générer la confiance public-privé nécessaire pour attirer leurs homologues internationaux.
-
(GMT+1)Conversation With | Petites entreprises, grand impact : quelle est l'approche gouvernementale optimale pour le financement des MPME ?
Les gouvernements peuvent jouer un rôle déterminant pour faciliter l’accès des MPME à des financements abordables, mais certaines initiatives se sont avérées décevantes. Au Kenya par exemple, le Hustler Fund, proposant des crédits moins onéreux que ceux des banques commerciales, affiche un taux de défaut supérieur à 50 %. Ceci qui a conduit Dr John Mbadi le ministre des Finances à changer de stratégie en délaissant les prêts directs aux MPME au profit de l’extension des garanties de crédit. Cette nouvelle approche parviendra-t-elle à convaincre les banques commerciales, souvent frileuses face aux risques, à augmenter leurs prêts aux PME ?
-
(GMT+1)Networking Break
-
(GMT+1)Disrupters Club | Innover malgré la pression : quel avenir pour les paiements fintech en Afrique
Le marché africain des paiements digitaux connaît une croissance rapide, avec 750 millions d’utilisateurs et un chiffre d’affaires passant de 3,5 à 20 milliards de dollars d’ici 2025. Cependant, de nouvelles réglementations récentes menacent l’écosystème fintech. Les amendes du Kenya en matière de protection des données risquent de limiter l’accès aux données transfrontalières, réduisant la compétitivité des fintechs locales. En parallèle, la taxe nigériane sur les paiements électroniques et les lois sud-africaines sur la protection des consommateurs pourraient freiner l’innovation. Face à cet environnement de plus en plus contraignant, les dirigeants du secteur avertissent : la réglementation actuelle n’est pas seulement un obstacle mais une barrière à la survie. Les fintechs africaines sauront-elles s’adapter ou sont-elles à un point de rupture ?
Points clés :- Comment concilier conformité stricte des données et besoin d’innovation agile?
- Quelles pratiques règlementaires pour attirer les investisseurs internationaux vers les paiements mobiles ?
- Quels enseignements tirer des partenariats réussis entre gouvernements, institutions financières, fintechs et opérateurs mobiles ?
-
(GMT+1)Du risque à la résilience : quel rôle pour les assureurs face au changement climatique ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Face à l’augmentation de 75 % entre 2014 et 2023 des catastrophes météorologiques, l’Afrique connait une aggravation du déficit d’assurance face ces risques. En aidant les entreprises et les particuliers à absorber les pertes dues aux inondations, aux sécheresses et aux épidémies d’origine climatique, les assureurs pourraient jouer un rôle crucial. Cependant le manque de données, l’accès limité à des outils de transfert des risques et l’absence de réglementation en la matière entravent la croissance de l’assurance climatique. Autorités de régulation, souscripteurs en assurance et institutions de financement du développement se réunissent dans le cadre d’une table ronde afin de discuter de la capacité du secteur de l’assurance à couvrir les pertes des millions de personnes touchées par le changement climatique.
Points clés :- Quels cadres réglementaires pour aider le secteur de l’assurance à absorber les risques climatiques ?
- Comment les institutions de développement pourraient-elles apporter de nouveaux instruments pour le transfert des risques ?
- Que peuvent faire les assureurs pour optimiser les stratégies de souscription et de risque ?
Président(e)Mamadou DEME
Director of Insurance, Ministry of Finance and Budget, Republic of SenegalIntervenantAbderrahim CHAFFAI
Président, Autorité de Contrôle des Assurances et de la Prévoyance Sociale (ACAPS), Royaume du Maroc -
(GMT+1)Infrastructures critiques : comment accroître l’offre de capital patient ?
Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation.
Le capital patient, avec un horizon d’investissement de 10 à 20 ans, est indispensable pour combler le déficit annuel de 108 milliards $ dans les infrastructures en Afrique. En 2023, seulement 3 % des investissements mondiaux en infrastructures ont été dirigés vers le continent, les investisseurs institutionnels préférant des destinations jugées plus stables, à faible risque et bénéficiant de cadres réglementaires clairs. Comment les parties prenantes peuvent-elles coordonner leurs politiques, réduire les risques et orienter efficacement ce capital patient vers des projets d’infrastructures essentiels et durables ?
Points de discussion :
- Comment optimiser les structures de capital, la transparence et la gouvernance pour réduire les risques et attirer les investisseurs institutionnels ?
- Financement mixte et meilleur partage des risques entre les secteurs public et privé : quelles réformes pour des cadres réglementaires clairs et plus favorables ?
- Comment sensibiliser les investisseurs institutionnels sur la valeur à long terme des investissements dans les infrastructures africaines ?
ModérateurMohamed HAMMOUCH
Directeur - Financement de projets - Énergie et infrastructure, Forvis Mazars -
(GMT+1)Networking Break Disrupters Club
-
(GMT+1)Dîner de Gala